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CONCERTS ELENA DUNKELMAN & DAVID BALTUCH / LYNN CASSIERS / SAMUEL BER & TODD NEUFELD

20:00 > 21:00 Des voix et des Pierres

Elena Dunkelman (voix) et David Baltuch (piano) prolongent le projet « Des Voix et des Pierres » autour des musiques juives initié avec Stephan Dunkleman et Sofia Falkovitch en 2019. Il s’agissait, et il s’agit toujours, de redécouvrir les musiques juives, vocales et instrumentales, à la lumières d’un regard nouveau. Des chants en yiddish, en ladino et en hébreu de Maurice Ravel ou de David Baltuch, ainsi que des arrangements de chants populaires ou des moments d’improvisations, seront rythmés par la musique électroacoustique de Stephan Dunkelman qui introduira dans la salle de concert des sons venus d’ailleurs. Ce métissage de musiques et de technologies ouvrira notre écoute à un monde sonore nouveau.

21:15 > 22:00 – Nacht Slakje – Lynn Cassiers (solo) – voix et électronique 

Nacht Slakje (Petit escargot de nuit) est le nom sous lequel la chanteuse et artiste sonore belge Lynn Cassiers réalise ses performances solo improvisées. Utilisant une table traditionnelle avec l’électronique, les objets, le clavier et la voix, elle construit un univers unique où l’improvisation est centrale. Elle y introduit aussi quelques thèmes et des textes qui peuvent aider, ou non, à s’orienter dans la forêt sonore méditative et aventureuse qu’elle crée. 

22:00 > 23:00 – Concert : Samuel Ber & Todd Neufeld (duo)

Le son a-t-il des oreilles ?

Qu’est-ce que c’est que de déclencher une machine à sons et, une fois notre action physique terminée, de l’observer ensuite émettre un son ? Qu’est-ce que c’est que d’être impliqué dans l’écoute de ce son qui vit maintenant par lui-même ?

Née à New York, cette collaboration guitare/batterie a découvert dès sa première rencontre des valeurs profondément partagées: la musique comme une peinture de formes asymétriques, la musique comme un acte physique qui à la fois engendre et révèle le temps. Au-delà et dans l’intentionnalité. L’accès simultané à l’équilibre et au lâcher-prise a immédiatement été ressenti comme… juste. Émergeant maintenant d’une période de distance et de changement, le duo se concentre sur la résonance en tant que dynamique, mais aussi sur la superposition de deux choses entre elles ou encore la superposition d’une seule chose avec elle-même. Et enfin, jouer avec les habituelles distinctions et hiérarchies entre rythme et mélodie.